Les investisseurs pris de surprise par la pire tourmente financière sur les obligations européenne depuis la crise de 2008

Comme vous pouvez le savoir si vous avez déjà consulté et lu mes précédents articles, je m’intéresse particulièrement à la politique monétaire. Je compte aujourd’hui vous faire profiter de mes capacités de traduction pour vous faire part d’un article paru dans le Financial Times  du vendredi 8 mai 2015.

Comme vous pouvez le savoir, le plan d’assouplissement quantitatif poursuivi par la BCE depuis le 9 mars 2015, est souvent décrit comme particulièrement important (bien qu’il ne soit pas aussi conséquent que celui de la banque centrale américaine, la FED, qui lui représentait 2500 milliards de dollars américain selon la radio BBC world service). N’ayant que peu d’expérience dans les montants représentant des milliers de milliards, ce que les anglais appellent les “trillions” (bien que j’ai déjà pu publier sur les fonds gérés par la société américaine Black Rock – 6% des actifs financiers planétaires), je n’avais pas forcément conscience de l’ampleur de ce plan de rachat de la BCE, (1150 milliards d’euros sur 3 ans, avec 60 milliards de rachats par mois).

Un article du Financial Times du vendredi 8 mai explique les taux d’intérêts sur les obligations européennes (yields par opposition au prix des obligations (bond price), c’est à dire le service de la dette pour les Etats emprunteurs ou les intérêts touchés par les investisseurs achetant des dettes publiques européennes sous forme d’obligation à plus ou moins long terme) ont été fortement instables à cause précisément des programmes d’assouplissement quantitatif de la BCE.

One comment

  1. […] Ceci est une traduction en français d’un article à la une du Financial times de vendredi 8 mai. J’ai dû tronquer l’article car cela aurait été trop long pour une seule publication. Cet article fait référence à une publication d’hier concernant l’ampleur relative de l’assouplissement quantita… […]

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